Qui suis-je ?
Derrière cette porte, je vous propose de faire connaissance autour d’un café. Oui, un café virtuel, mais laissons l’imagination nous surprendre. D’abord, c’est le petit crépitement de la moka qui résonne. Le parfum du café envahit la pièce. Une tasse est posée sur la table. Quelques centilitres, pas plus, y sont versés. Vous prenez du sucre ?
Bien, maintenant, observez autour de vous. Vous êtes dans mon espace virtuel. Sur les murs, des tonnes de photos de l’Italie collées les unes sur les autres. Des notes prises à la main s’entrecroisent, de-ci de-là, des tickets de métro, des cartes de restaus et des billets de musée sont collés.
Sur la table, c’est plus propre. Une surface impeccable, quelques images sélectionnées et des textes plus travaillés. Bien sûr, ça et là, il y a bien une petite tâche de café ou une rature au stylo bic.
Voilà pour l’ambiance. J’aime vadrouiller, photographier, noter, accumuler. Au fil des voyages, des récits se détachent, des lieux me séduisent.
L’occhio di Lucie, c’est un blog sur l’Italie
J’ai créé ce blog pour pouvoir donner corps à mes idées. Pour écrire ce qui m’inspirait. Je collectionne les petits trésors au fil de mes voyages en Italie : ici, c’est ma caverne. Je vous ouvre ma boîte et vous montre les coins que j’aime, les lieux qui me plaisent.
Je ne suis pas guide, je ne sais pas tout. Parfois, je travaille pour un éditeur, rédigeant des pages pour des guides de voyage. D’autres fois, je m’essaie au journalisme. Il m’arrive encore d’être rédactrice web, ou copy writer. Mais ici, c’est un lieu de passion, pas de boulot. Je ne gagne pas ma vie avec ce site, et je tiens à y écrire ce que je veux. Comme je veux. Quand je veux. Bref, un blog quoi !
C’est pour ça qu’il s’appelle L’occhio di Lucie (qu’on prononce okkio). C’est-à-dire, en français, L’œil de Lucie. Le même nom que celui d’un petit coquillage qu’on trouve sur les plages de la méditerranée. Un œil que je pose volontiers sur les trous de serrure, les lorgnettes d’une paire de jumelles ou à travers la fenêtre d’un train.
Dans mes textes, je vous prête mes yeux, et je vous propose de regarder ensemble. Pour vous donner envie à votre tour de partir à la découverte et de laisser errer votre regard sur les paysages, les œuvres d’art, les gens et les plats qui composent ce merveilleux pays.